Photos de
Richard-Max Tremblay
Maquillage et cheveux :
Jessica Branchaud-Meneses
Les photos étaient inspirées de
Marlene Dietrich, bien entendu...
"En ce qui a trait aux plaintes relatives aux Orphelins et Orphelines de Duplessis traitées à l'époque par la Direction générale des affaires criminelles et pénales du Ministère de la Justice en 1995, dont copies de certains documents sont joints à votre demande, le Procureur général d'alors avait exprimé très clairement qu'aucune accusation ne pouvait être portée. Cette annonce avait été faite à la suite d'une analyse de chacune des plaintes qui s'était échelonnée sur plusieurs mois et a été menée par des substituts du procureur général expérimentés. Les motifs du rejet étaient de divers ordres. En résumé, les décisions dans ces cas ont été prises soit parce que leur identification n'avait pu être faite par les victimes, soit parce que les plaintes des infractions dont le délai de poursuite (6 mois) était expiré. Certaines de ces décisions s'expliquent également par le fait qu'il y avait insuffisance de preuve, que les personnes suspectées étaient incapables d'assurer leur défense ou enfin, qu'elles ne pouvaient être localisées.
À la lecture des documents que vous nous avez fourni, ce dossier est clos et aucun fait nouveau ne justifie cette demande de révision."
"Cette fois, c'est le Directeur des poursuites criminelles et pénales qui nous raconte n'importe quoi.
Les agressions sexuelles répétitives sur des mineurs doivent être prises avec plus de sérieux.
Le rôle du DPCP n'est certainement pas de protéger les criminelles infiltrés dans les églises du Québec.
Avec 22.000 pages d’enquêtes de la Sûreté du Québec, il y a facilement de quoi poursuivre tous les complices de crimes d'agressions sexuelles, hier comme aujourd'hui.
Ne manque que la volonté politique."