Saturday 29 September 2012

CONCOURS DE COLORIAGE DES CÉLINE B. LA TERREUR : VOTE DU PUBLIC


LE CONCOURS EST TERMINÉ
4 PREMIÈRES PLACES
EX-AEQUO : 

NO. 10, 1, 6 ET 8
FÉLICITATIONS AUX GAGNANTS !













DÉCOMPTE

Dessin numéro 1....4 votes
Dessin numéro 2....1 votes
Dessin numéro 3.... 1 votes
Dessin numéro 4.... 1 votes
Dessin numéro 5.... 2 votes
Dessin numéro 6.... 4 votes
Dessin numéro 7.... 1 votes
Dessin numéro 8.... 4 votes
Dessin numéro 9.... 1 votes
Dessin numéro 10.... 4 votes
Dessin numéro 11.... 1 votes
Dessin numéro 12.... 2 votes
Dessin numéro 13.... 2 votes

Friday 28 September 2012

Pro-lingerie-masculine-éblouissante


Je suis totalement pro-lingerie-masculine-éblouissante et je vous invite à encourager les hommes à porter des dessous éblouissants.  La meilleure compagnie de lingerie-masculine-éblouissante est sans contredit

Gregg Homme : 



Thursday 27 September 2012

Plus un homme en fait à la maison, plus il risque le divorce

(Encore un signe que bien des hommes ont peur des femmes éduquées qui ont du pouvoir économique)

Publié le 27 septembre 2012 à 09h01 | Mis à jour à 09h01
Agence France-Presse
Oslo

Au risque de faire jaser dans les chaumières, une étude norvégienne vient d'établir que plus les tâches ménagères étaient réparties équitablement dans un couple, plus les risques de divorce étaient élevés.

Selon l'institut de recherche en sciences sociales Nova, la proportion de divorces parmi les ménages qui partagent les tâches domestiques de manière équitable est environ 50% plus élevée que chez ceux où l'essentiel du travail est accompli par la femme.

«Plus un homme en fait à la maison, plus la proportion de divorces augmente», a expliqué jeudi à l'AFP Thomas Hansen, coauteur d'une vaste étude intitulée «L'égalité à la maison».

Pour les chercheurs, il n'y a aucun, ou presque aucun lien de causalité, et cette corrélation est plutôt un signe de la «modernité» des couples.

«Les couples modernes le sont à la fois pour ce qui est de la répartition des tâches et dans leur perception sur le mariage», moins sacralisée, a expliqué M. Hansen, soulignant qu'il s'agissait d'une question de «valeurs».

«Dans ces couples modernes, les femmes ont aussi souvent un niveau d'éducation élevé et un emploi bien rémunéré, ce qui les rend moins dépendantes économiquement de leur mari. Elles peuvent donc s'en sortir plus facilement en cas de divorce», a-t-il ajouté.

C'est seulement à la marge que la causalité entre divorces et répartition des tâches se retrouverait.

«Peut-être est-ce parfois vécu comme positif d'avoir des rôles bien répartis avec beaucoup de prévisibilité (...) où l'un n'empiète pas sur les platebandes de l'autre», a estimé M. Hansen.

«Ça peut générer moins de querelles alors qu'on peut plus facilement se chamailler si on a les mêmes rôles et si on a le sentiment que l'autre ne fait pas sa part», a-t-il ajouté.

En Norvège, pays épris de parité, l'éducation des enfants est généralement partagée de manière équitable entre le père et la mère (sept couples sur dix), a relevé M. Hansen qui s'exprimait d'ailleurs depuis un parc où il s'occupait des siens.

Mais, pour ce qui est des tâches ménagères, c'est encore essentiellement la femme, dans sept cas sur dix, qui en fait le plus.

Pourtant, l'étude fait aussi ressortir qu'elles se satisfont globalement de cette situation et que leur niveau de bonheur en général est très proche de celui des femmes de couples dits «modernes».

Thursday 20 September 2012

Nouveau blog des Orphelins de Duplessis

Comment soutenir les Orphelins de Duplessis ?

En écrivant aux dirigeant de l'Église Catholique
En écrivant à la Première ministre du Québec
En diffusant sur les réseaux sociaux votre sympathie envers leur cause
En faisant un don à leur organisme, COVA

Ces options sont expliquées sur leur nouveau blog :

http://orphelinsdeduplessis.blogspot.ca/


Tuesday 18 September 2012

Concert-bénéfice des Céline B. La Terreur au profit du band Les Céline B. La Terreur

Concert-bénéfice des Céline B. La Terreur
au profit du band
Les Céline B. La Terreur 


Entrée libre*
(Les Céline B. La Terreur accepteront les dons en argent et en boisson à leur propre profit) 


Samedi le 29 septembre 2012 à 14h

à la chic 
Galerie Joyce Yahouda
372, Ste-Catherine O., suite 516 
Montréal, Qc 
H3B 1A2 Canada 
514-875-2323 



dans le cadre des Journées de la Culture

Apportez votre vin 





Les Céline B. La Terreur est un band électrokitsch pro-lingerie masculine-éblouissante, spécialisé en lipsync non-synchronisé. Ils présenteront, le 29 septembre prochain, un concert unique aux chorégraphies sophistiquées. Ce concert sera orchestré sur leurs grands succès, dont les légendaires Fantastic Aerobic, Bubbles et Drinking in Leningrad, pour ne nommer que ceux-ci. Le concert sera entrecoupé de lectures de poésie signée Céline, de sessions de bricolages et d'une séance de photo finale avec les fans (apportez vos kodaks).  www.laterreur.com/rock

Grosse à vendre : Souvenirs de la France

Grosse à vendre
Vieillesse bien assumée sur la plage de Marseille


Propagande féministe sur une Renault


Direction : les tavernes






Monday 17 September 2012

Christine Ockrent : Le Livre noir de la condition des femmes

Un livre difficile mais essentiel, que toute femme devrait lire. Je ne le citerai jamais trop.

Il s'agit d'une lecture pénible ( je n'en lis d'ailleurs que quelques pages à la fois), mais c'est un survol réaliste des conditions de vie des femmes sur la planète, à l'heure actuelle.



Voici ce qu'on peut lire sur le site internet de l'éditeur :

« Les femmes sont leur propre espoir, elles ne peu­vent comp­ter que sur elles-mêmes pour chan­ger la société. Chaque fois que nous fai­sons pro­gres­ser nos droits à toutes, l’huma­nité fait un pas vers un monde plus juste. A tra­vers ce livre, cette pho­to­gra­phie de la condi­tion des femmes aujourd’hui, cha­cune d’entre nous a l’occa­sion d’appren­dre ce qu’elle ignore, de décou­vrir ce qu’elle ne peut pas ou ne veut pas voir, et de par­ti­ci­per au combat pour un monde meilleur. » Christine Ockrent

Le Livre noir de la condi­tion des femmes nous offre, pour la pre­mière fois, la pho­to­gra­phie de la condi­tion des femmes dans le monde, aujourd’hui.

En préam­bule de sa Déclaration de 1993, l’ONU pro­clame l’urgence de l’appli­ca­tion aux femmes des droits et prin­ci­pes du genre humain : SECURITE, INTEGRITE, LIBERTE, DIGNITE, EGALITE. Cinq mots pour résu­mer ce qui devrait être garanti aux femmes, en ce début de troi­sième mil­lé­naire.

C’est autour de ces mots que Christine Ockrent et Sandrine Treiner ont sélec­tionné des sujets dont elles ont confié le déve­lop­pe­ment (sous forme d’arti­cles, d’ana­ly­ses trans­ver­sa­les, de repor­ta­ges mais aussi de por­traits d’hommes et de femmes opé­rant sur le ter­rain) à qua­rante auteurs – experts mon­dia­le­ment connus, cher­cheurs, pra­ti­cien, mili­tants, jour­na­lis­tes, venus de tous les hori­zons. Dans cette recher­che, elles ont béné­fi­cié du concours de Françoise Gaspard, socio­lo­gue à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, qui repré­sente la France au Comité CEDAW des Nations Unies, dont le rôle est de sur­veiller l’appli­ca­tion de la Convention contre toutes les dis­cri­mi­na­tions à l’égard des femmes. C’est ainsi que pen­dant deux ans, autour de leur trio, s’est cons­ti­tuée une com­mu­nauté de tra­vail inter­na­tio­nale, pas­sion­née, enthou­siaste.

Comment et pour­quoi les femmes sont-elles muti­lées, enfer­mées, dépla­cées, négo­ciées, mar­chan­dées, sou­vent avec la com­pli­cité tacite des Etats, même démo­cra­ti­ques ? Comment peut-il man­quer quatre-vingt-dix mil­lions de femmes en Asie ? Est-ce un hasard si le SIDA en Afrique tue aujourd’hui plus de femmes que d’hommes ? Pourquoi, en matière de viol et de vio­len­ces conju­ga­les, pri­vi­lé­gie-t-on les expli­ca­tions cultu­rel­les ou reli­gieu­ses dans les pays du Sud pour pré­fé­rer les causes d’ordre psy­cho­lo­gi­que et indi­vi­duel dans les pays du Nord ? Pourquoi les femmes sont-elles d’avan­tage bru­ta­li­sées lorsqu’elles sont ins­trui­tes et qu’elles accè­dent à l’auto­no­mie ? Pourquoi, par­tout, les femmes sont-elles les plus pau­vres d’entre les pau­vres… ?

Autant de ques­tions et de répon­ses pos­si­bles appor­tées dans cet ouvrage essen­tiel dont la lec­ture, à la fois bou­le­ver­sante et édifiante, ne lais­sera per­sonne indemne mais qui, au contraire, confor­tera chacun (cha­cune) dans une cer­ti­tude : il faut faire du combat pour les femmes une affaire per­son­nelle.



• Essai
• coordonné par Sandrine Treiner, postface de Françoise Gaspard
• Parution : 2 mars 2006
• 784 pages
• Format : 153 x 240 mm
• ISBN : 9782845632004

Les Saoudiennes vont pouvoir vendre des sous-vêtements

Le Monde.fr avec AFP | 04.01.2012 à 12h16


Les Saoudiennes vont pouvoir acheter leur lingerie sans la gêne de passer par des vendeurs masculins. Une décision royale autorise en effet les femmes à travailler dans ces magasins, une mesure décriée par les responsables religieux.

Dans ce royaume ultraconservateur où la ségrégation des sexes est strictement imposée, un décret du roi Abdallah est ainsi entré en vigueur mardi 3 janvier, imposant aux magasins de lingerie féminine de remplacer leurs vendeurs, généralement asiatiques, par des vendeuses saoudiennes. Le ministre du travail,Adel Faqih, a indiqué que plus de 7 300 magasins étaient concernés par cette décision, qui doit créer à terme jusqu'à 44 000 emplois pour les Saoudiennes.
"QUESTIONS SUR MES MENSURATIONS"

Cette décision a été précédée par une campagne menée sur Internet par des femmes exprimant leur ras-le-bol. "C'est une décision positive et courageuse. Comme beaucoup de femmes, j'étais embarrassée de devoir acheter mes dessous d'un homme me posant des questions sur mes mensurations", affirme Samar Mohammed, une institutrice de 37 ans. Les femmes ne pourront toutefois toujours pas essayer les sous-vêtements, les cabines d'essayage pour femmes étant prohibées dans le royaume.

"Fini, la gêne", proclamait pour sa part mardi sur sa page Fatima Qaroub, qui a lancé sur Internet une campagne réclamant la féminisation des emplois dans la lingerie féminine. Elle souligne que "les commerçants, au début, ont mal accueilli la décision des autorités, mais après avoir employé des femmes saoudiennes, certains ont même étendu l'expérience aux magasins d'habillement" en général.


"CONTACT DIRECT" AVEC LES GÉRANTS

La décision royale, qui s'appliquera dans un deuxième temps aux magasins de produits cosmétiques, rencontre l'opposition du mufti d'Arabie saoudite, cheikh Abel Aziz Al-Cheikh, qui a estimé lors de son sermon vendredi que cela mettrait les vendeuses "en contact direct" avec les hommes gérant ces magasins. "Les femmes vont vendre et compter l'argent", ce qui est "contraire à la religion", a-t-il ajouté.

Une précédente décision permettant aux Saoudiennes de travailler dans les magasins de lingerie, prise il y a trois ans, avait déjà été bloquée par les religieux conservateurs, qui s'opposent au travail des femmes dans plusieurs secteurs d'activité pour empêcher la mixité.

Au Zimbabwe, une prostituée peut se transformer en âne


(AFP) – 26 oct. 2011

HARARE — Un Zimbabwéen de 28 ans a affirmé à la justice que la prostituée qu'il avait ramenée chez lui pour la nuit s'était transformée en âne, et qu'il est désormais "sérieusement amoureux" de l'animal, a rapporté mercredi la presse officielle.
Sunday Moyo avait été arrêté dimanche à Zvishavane, à environ 300 km au sud d'Harare. Il a raconté qu'il avait payé 25 dollars pour une nuit à une prostituée rencontrée dans un bar, et qu'il avait été fort surpris dimanche matin en apprenant qu'on l'avait arrêté après l'avoir surpris en pleine action avec un âne.
"Je crois que je suis aussi un âne. Je ne sais pas ce qui s'est passé quand j'ai quitté le bar, mais je suis sérieusement amoureux de l'âne", a-t-il déclaré au tribunal, selon le journal gouvernemental The Herald.
M. Moyo a été inculpé pour zoophilie. Le tribunal a ordonné un examen psychiatrique, selon le quotidien.

Wednesday 12 September 2012

Un homme de 46 ans épouse une fillette de 6 ans, Madonna, 54 ans, fréquente un homme de 25 ans

Je rappelle ici que le prophète Mahomet a épousé, en l'an 620,  une fillette de 6 ans, Aicha, et a eu des relations sexuelles avec elle lorsqu'elle a atteint l'âge de 9 ans.

À l'époque, c'était normal et socialement correct.

Aujourd'hui, quand une femme fréquente un homme plus jeune qu'elle, on la ridiculise, on l'étiquette de "cougar", on considère la chose déplacée, dégoûtante pour certains.

Friday 7 September 2012

UNE JEUNE MARIÉE SE NOIE


Une jeune mariée se noie


Une séance photos en robe de mariée a tourné au drame hier quand la jeune femme est tombée à l’eau
MÉLANIE COLLEU

Deux mois et demi après l’un des plus beaux jours de sa vie, une mariée se noie lors d’une séance photo aux chutes de Rawdon, incapable de rejoindre le bord sous le poids de sa robe.

Le photographe qui l’accompagnait a tout essayé pour la sauver, mais en vain. « J’ai plongé plusieurs fois pour tenter de la remonter, mais avec la robe, c’était impossible. Elle était trop lourde », confie Louis Pagakis, ébranlé, quelques minutes seulement après que le corps de Maria Pantazopoulos, la jeune mariée, soit repêché.
Encore sous le choc, il raconte. Après avoir couvert le mariage de sa cliente en juin, il lui a proposé d’immortaliser ses instants de bonheur dans sa belle tenue blanche, hier après-midi, aux chutes Darwin à Rawdon, particulièrement réputées pour la beauté des lieux.
« On faisait un shooting plus artistique que lors de la cérémonie. C’est là qu’elle a voulu aller dans l’eau avec sa robe pour faire bien sur les photos. Je lui ai demandé si elle savait nager, elle m’a dit oui », explique le professionnel, spécialisé dans les clichés trash the dress.
Mais la jeune trentenaire agente immobilière à Laval s’est retrouvée en difficultés dans le bassin où elle s’était aventurée, un peu avant les chutes.
Baignade interdite
La baignade est formellement interdite dans ce secteur, a confirmé Hugo Leblanc, le directeur adjoint des pompiers de Rawdon.
« On a traité l’appel aux alentours de 14 h comme tous les appels d’urgence que nous avons. Mais c’est sûr que les circonstances sont particulières », avoue-t-il. Les hommes de la Sûreté du Québec se sont mis en branle dès leur arrivée et c’est finalement vers 18 h que le corps a été retrouvé, près de l’endroit où la jeune femme avait disparu.
Les agents Jessie Lalancette et Jean-Michel Massé ont plongé à l'eau et y sont restés environ une heure. Leur collègue Cynthia Labranche est restée au bord pour les aider.
D’après la SQ, il n’y avait que 6 à 12 pouces d’eau lorsque la jeune femme a perdu pieds. Elle aurait été retrouvée à environ 20 pieds de profondeur d’après les pompiers.
Choc nerveux
Tout comme le photographe, un homme témoin de la scène a également tenté de l’aider, mais il n’a pas non plus réussi à la ramener sur le bord.
Plusieurs amis du photographe sont venus l’épauler sur les lieux du drame. Ce dernier, ainsi que son assistant, ont été traités pour choc nerveux.
Le frère de la mariée était également sur place. Accompagné par un agent de la SQ et soutenu par plusieurs amis, il est allé voir l’endroit où sa sœur s’est noyée.

Une chevelure magnifique


Jour des crânes - Bolivie